Quand j’étais Gone de Dominique Terrier
Ah Dominique Terrier, si je ne t’avais pas lu, ma vie serait moins pétillante, et ce serait dommage dans cette grisaille ambiante, le soleil ayant décidé de nous bouder cette année.
Contre la grisaille, donc, je préconise Quand j’étais Gone, vous ne savez pas ce qu’est un Gone ? Je ne le savais pas non plus avant, mais je ne dirais rien !
Dominique Terrier nous entraîne ici, dans son univers, un passé riche et coloré, aux odeurs de plats Lyonnais. Sa mémoire vous conte un univers riche, ponctué d’hommes et de femmes qui lui sont chers et de références cinématographiques, télévisuelles, musicales, livresques qui nous forgent toutes et tous à notre insu. Un retour aux sources qui nous fait sourire, rire, nous émeut.
J’ai pour une fois cédé à la tentation du numérique, (parce que je ne suis pas Rotschild, eh oui, personne n’est parfait !) et j’ai eu la joie de découvrir également, une autre de ces nouvelles, Mémoires d’un prolétaire dont je me délecte encore !
Je vous le dit, un petit Dominique Terrier à la maison, ou plutôt sous les yeux, c’est un ravissement !